lunes, 1 de enero de 2007

L'après-midi1

Rien, cette écume, vierge vers
À ne désigner que la coupe ;
Telle loin se noie une troupe
De sirènes mainte à l’envers.

Nous naviguons, ô mes divers
Amis, moi déjà sur la poupe
Vous l’avant fastueux qui coupe
Le flot de foudres et d’hivers ;

Une ivresse belle m’engage
Sans craindre même son tangage
De porter debout ce salut

Solitude, récif, étoile
À n’importe ce qui valut
Le blanc souci de notre toile.

Salut, Stéphane Mallarmé

FablePG1

Estas que me dictó, rimas sonoras,
Culta sí aunque bucólica Talía,
Oh excelso Conde, en las purpúreas horas
Que es rosas la alba y rosicler el día,
Ahora que de luz tu niebla doras,
Escucha, al son de la zampoña mía,
Si ya los muros no te ven de Huelva
Peinar el viento, fatigar la selva.
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Celle-ci – rimes sonores – que me dicta
une savante, bien bucolique Thalie
– oh conte excellent – aux heures pourpres
où rose est l’aube et le jour rose argent
à présent que l’éclat tu dores ta Nuée,
écoute-les au son de mon chalumeau,
si les murs ne te voient plus de Huelva
brosser le vent, épuiser la forêt. .
...
Fable de Polyphème et Galatée 1, Luis de Góngora y Argote